Je sais

 

Je sais le vole de l’oiseau

Libre et souple dans le vent

Et je le laisse s’élever très haut

Sans même me soucier du temps

 

Je sais le chant de la mer

Puissant et serein sur le rivage

Et je le laisse œuvrer à sa manière

Sans même douter de son sillage

 

Mais… je dois l’avouer

J’ai parfois de la difficulté à me donner

Pleinement à mes amitiés…

Laisser un commentaire