Il y a moyen d’atténuer la souffrance, voir la contrôler.

Il faut prendre conscience de sa provenance.

Un peu comme lorsqu’un ami te blesse avec des mots, la souffrance sera plus grande si tu restes dans le combat des mots.  Même lorsque l’altercation est terminée, si tu rumines le poids des mots, des arguments, l’effet de ces armes, alors tu vas étendre tes blessures.

Le recueillement va te permettre de laisser s’envoler les mots et prendre conscience que ce qui te blesse est souvent une émotion, une représentation ou une croyance en toi mutilée.

Apprends à identifier la source de la douleur, ne gaspille pas ton énergie à comprendre l’arme utilisée, mais consacre ton temps à soigner ta blessure, à renforcer ta défense, et tu seras capable de supporter la souffrance, ou minimalement l’épreuve.