Il y a des personnes qui réussissent, à force de tromperies
et d’actions suscitant la pitié,
à détourner des proches de leurs victimes.
Elles sont des siphonneurs de vies,
qui cherchent des problèmes à chaque solution apportée.
Bien que l’on peut avoir de la compassion
pour ce type de souffrance,
il est bon d’accepter de laisser partir
les personnes qui s’y associent,
et sortir de cette toxicité.
Ainsi, chacun s’en va vers son propre centre d’intérêt.
Et le bonheur qui revient
après ces périodes troubles est indescriptibles.
Je pense, ce matin, à ceux qui se sentent mal
de couper des ponts et qui l’écrivent.
Bien qu’un pont peut être utile pour relier ce qui doit être ensemble,
il peut servir à traverser un obstacle, puis s’en éloigner,
et se couper ainsi du piège de l’obstacle.
Se respecter et se réapproprier le pouvoir d’agir sur sa vie
c’est, entre autre, de faire le choix pour soi
et non pour ceux qui regarde et de l’assumer.