Le Savoir, le Savoir-être, le Savoir-faire et le Savoir-relationnel lorsqu’ils sont bien enlignés permettent de vivre une synchronicité, une cohérence, et des réussites.

Un peu comme un met savoureux, c’est le dosage des différents ingrédients qui fait la différence. Rien n’est mécanique, il y a cette touche d’art qui fait la différence. L’art c’est le sens émergeant de la créativité, l’œuvre c’est les valeurs du créateur matérialisé dans l’action.

Transposer au monde de la gestion, on pourrait dire que le gestionnaire sans valeurs et un gestionnaire qui n’a pas de valeur pour une organisation qui veut se démarquer, et performer.

Je suis souvent étonné, voire estomaqué, lorsque je parle d’art avec des gestionnaires et que la grâce, l’âme, le sens et les valeurs sont très présents dans le discours.  Et ès que nous parons gestion, administration, ressources humaines, management, tout le discours s’abaisse à un niveau mécanique, voir technique.  Un peut comme si on voulait faire un grand repas en suivant une recette que nous n’avons jamais testée et qu’aveuglement on l’a réalise dans goûter une seule fois.

Heureusement il existe des gestionnaires qui démontre au quotidien en mettant tout en œuvre pour que le Savoir, le Savoir-être, le Savoir-faire et le Savoir-relationnel de leurs employés évoluent dans l’objectif de développer des valeurs telles que l’ouverture d’esprit, l’humilité, le sens de l’engagement, l’écoute des autres, le sens du développement individuel et collectif ou encore l’adaptabilité. Sans ces savoirs individuels, point de savoirs organisationnels qui permettent d’innover et de faire la différence.

Un bon gestionnaire est axé sur les résultats et l’humain. Il est conscient que chaque personne avec qui il travaille cherche sa quête tout au long de sa vie, et certains la trouveront. Son plus grand bonheur ne sera pas uniquement les réalisations, mais aussi, et surtout le fait de savoir qu’il a fait ce qu’il faisait de mieux et que les personnes avec qui il a travaillé au passage sont mieux après l’avoir rencontré qu’avant.

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Une chanson de Daniel Bélanger Je fais de moi un homme