Neuf leçons du Guerrier Maasaï, Xavier Péron

contemplation

Le plus important est d’accueillir chaque instant d’une façon claire, sans pensée préalable, de telle sorte à créer qui tu es, plutôt que de rejouer qui tu as déjà été. Le malheur est toujours mérité. On le construit de ses propres mains et nul autre que le malheureux n’en est responsable. Le malheur ne peut être combattu ni par l’argent ni par des événements favorables pour la raison capitale qu’il est le résultat d’un état d’âme et non la conséquence d’un état extérieur. Il résulte du fait que le malheureux s’est tenu à l’extérieur de l’instant et qu’il l’a jugé au lieu de le vivre. La preuve en est que des hommes sont heureux même avec des maladies, des infirmités ou le dénuement le plus total, tandis que d’autres sont malheureux en dépit d’une grosse fortune.

Pour apprendre de la vie tu dois risquer de te perdre dans l’acceptation de la non-connaissance.

Une chanson de Geoffrey Oryema – Exile

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