2 réflexions sur “Troubles du sommeil, un éveil en mode solution?”

1. Pour une millième fois, la synchronicité agit avec ton choix de texte.

   Entre 1997-1998, j’étais participante à ce centre de recherche CETS). Convaincue que je ne dormais pas assez et que je voyais mon anxiété augmenter, j’ai voulu en savoir plus. Inscrite à cette recherche, je me rendais régulièrement au laboratoire de l’Institut universitaire en santé mentale. Je devais arriver la veille, où on m’installait un chapeau avec des électrodes, plus scientifiquement appelé: appareil de polysomnographie. Et ainsi, un assistant suivait mon sommeil toute la nuit. Après quelques semaines, ce sont les diagrammes du chercheur qui m’ont prouvé que je dormais plus que je ne le croyais (même si, pour moi, mon sommeil était léger et agité). En prime, je rêvais. J’aurais juré que non… Aucun souvenir de ces rêves. J’ai donc dû transformer des choses dans ma vie pour reconnaître ma capacité de sommeil.

   Pour moi, un chercheur qui se penche sur toutes les facettes de la personne, est un vrai chercheur. Ainsi, le CETS m’a fait voir une psychologue. Si je me rappelle bien, il y avait des groupes de discussion aussi. On a décortiqué mes habitudes de vie et on m’a suggéré une approche plus globale de ma manière de vivre qui se solderait par la qualité de mon sommeil.

   Mais en fait, ce que le centre m’a le plus démontré, c’est toute l’importance de l’équilibre dans la vie. Un sommeil réparateur vient souvent avec un état de veille conscient de nos forces et de nos faiblesses en tant que personne et de la bonté envers soi qui doit en découler.

   Après cette étude, à chaque fois que le déséquilibre survenait dans ma vie, je dormais mal…

   Excusez ce long témoignage!
   Nicole

   Envoyé de mon iPad

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