L’effet colibri… oups… papillon

Vols papillons

 

La violence peut nous apprendre beaucoup sur l’amour et sur soi.

D’abord, elle suscite l’incompréhension, le non-sens, l’absurdité. Nous sommes subjugués par elle.

Puis, il y a l’apparition de la peur. Cette peur qui s’attaque à nous, qui peut tuer bien des choses en nous, beaucoup de projets et même nous tuer. La peur est un feu destructeur qu’il nous faut apprendre à contenir.

La bonté, la compassion et l’amour sont des marées d’énergies bienfaisantes qui peuvent calmer l’incendie de la peur. Chaque geste créateur que nous produisons a un effet direct sur notre peur et sur la peur vécu par d’autres. Elle suscite la bonté, la contemplation, l’amour même.

Quand nous créons, nous utilisons notre propre capacité d’agir pour donner moins de place à la peur, et plus de place à notre part bienfaisante. Quand nous sommes habités de compassion, nous voulons créer, chanter, peindre, filmer ou écrire.

Il est important de prendre conscience que le monde ne laissera tomber les guerres ou les attentats que lorsque la majorité de ses habitants seront en train de créer de la vie autour d’eux. À chaque amour, à chaque geste de bonté, à chaque espace de compassion, la peur recule et la vie reprend tout son sens. N’attendez pas le changement global, faites votre part de différence et laissez aller l’effet papillon.

Une chanson de ZAZ – La (R)Evolution des colibris

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