Vivre ensemble et gérer l’interdit

ImAGE Paix verte

Pour vivre ensemble, il nous faut un minimum de règles et de normes à respecter afin d’établir l’ordre commun et de favoriser un bien-être collectif. Si tout le monde roule à des vitesses différentes, qu’ils tournent n’importe et s’arrête n’importe quand, ce serait le chaos.

Bien que nous adhérons à cette convention collective, il est fascinant de penser que tous nous avons nos propres moments de dissidence de ces règles et normes.

Si nous prenons le temps de regarder notre vie, nous nous rendons compte que nous sommes souvent confrontés à réaliser quelque chose qui nous est cher, mais défendu. Par exemple, une consommation d’une sucrerie, d’une boisson, le passage dans un endroit privé, un arrêt obligatoire et je laisse votre imagination développer.

De même, ils nous arrivent aussi de faire des choses qui ne sont permissent qu’à nous-mêmes et non aux autres, parce que par exemple, dans notre espace privé.

Nous existons à partir d’interdits que nous contenons dans les frontières règlementées et normées. Et c’est dans ce contexte que nous répondons tous de nous-mêmes, consciemment ou inconsciemment.

Dans les faits, nous écrivons l’interdit à baliser sous forme de textes afin de mieux prendre compte de soi dans l’ensemble. Et nous tirons le rideau pour ne pas être trop dérangés par la masse.

Imaginons une personne qui se réalise et se libère des chaînes forgées par l’esprit, il ne chercherait plus à réfléchir en terme d’interdits, mais plutôt en terme d’ouverture, de partage, de synchronicité et d’interdépendance, consciente de sa contribution singulière. Mais, sa dissidence serait plus que remarquée. Fascinant, n’est-ce pas?

Une chanson de Patrick Fiori – Parle plus bas

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