Un changement dans la façon de voir notre environnement

Québec

Il y a pas si longtemps, il était encore nombreux à dire tout haut que le concept même de changement climatique dû à la consommation humaine est une fiction de l’esprit pour mousser la cause écologique.

Malheureusement l’expérience des dernières années nous rattrape et nous constatons les effets de notre imprudence au regard de la consommation du territoire sur le climat et sur nos vies. Plus de tempêtes virulentes, changement brusque de température, pluies abondantes, etc. Présentement, le Texas le vit. Heureusement, la majorité des pays ayant signé l’accord de Paris demeure solidaire pour changer les comportements.

Il y a de plus en plus d’humains qui font cette prise de conscience d’une interdépendance entre l’homme et la nature.

N’est-ce pas Alan Watts qui soulignait : « En vérité, c’est pour la pensée seulement que la peau sépare le corps du reste du monde. Pour la nature, la peau est agent de liaison autant que de séparation. »

Il est triste de constater que cette civilisation où l’homme est considéré comme le couronnement de la création soit son propre bourreau.

Si nous sommes capables, à l’échelle de l’humain, de nous libérer des entraves que nous nous créons, il en est de même pour notre relation avec la nature. Nous avons le choix de faire la différence à notre propre échelle.

Pensons à nos petits-enfants, qu’est-ce qu’on leur laisse?

Est-ce un avenir durable?

Une chanson de Richard Séguin – Qu’est-ce qu’on leur laisse?

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