Quelques signes extérieurs de paix intérieure :
– tendance à dédramatiser les circonstances, faire confiance
– capacité de se sentir intensément vivant en toutes circonstances
– développement de l’écoute et de la compassion, et profond respect pour toute chose vivante.
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L’émerveillement du simple fait d’être, d’appartenir à la vie, cette seule absorption dans la conscience de la merveille, voilà finalement ce qui comble, guérit, transforme ; voilà ce que cherchent les humains.
La conscience planétaire ne peut émerger qu’en dépassant les dualismes et les séparations qui cloisonnent et divisent le monde : l’homme et la nature font un, le corps et l’âme font un, et, au-delà du bien et du mal, il y a quelque chose qui nous rassemble.
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Notre culture nous tire hors de nous, elle nous incite à faire plutôt qu’à être.
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Sortons dans l’ENFER-mement et entrons dans l’OUVERT-ure.
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En tant qu’êtres humains, nous nous retrouvons très souvent pris au piège de nombreuses habitudes néfastes :
– nous sommes très dépendants de l’extériorité
– nous sommes prisonniers de l’immédiateté et de la vision à très court terme
– nous sommes automatisés dans le processus d’action-réaction qui mène aux relations de pouvoir et non de synergie
– nous favorisons la pensée binaire qui amène la division intérieure
– nous sommes empêtrés dans notre passé.
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Celui qui n’a pas reconnu que la vie est incessante métamorphose n’aura pas sa part du miracle.
Thomas d’Ansembourg dans Qui fuis-je ? Où cours-tu ? A quoi servons-nous ? : Vers l’intériorité citoyenne
Une chanson de Nina Simone – Wild Is The Wind
Les paroles en français sur https://www.lacoccinelle.net/298978.html