— Pour neutraliser la capacité de nuisance des gens, il faut deux choses. La première est de les laisser s’exprimer, pour qu’ils puissent se défouler. Ils appellent ça se sentir libres.
— Et la deuxième?
— Leur fournir des opinions simples et amusantes, qu’ils peuvent répéter sans même s’en rendre compte. C’est ce qu’ils appellent dire ce qu’ils pensent.
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Il ne pouvait se faire à l’idée qu’une société, par l’intermédiaire de son gouvernement, demande aux policiers de cogner sur la jeunesse. Jour après jour. Cette société avait quelque chose de détraqué.
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Même si on ne croit pas à une idée, quelle qu’elle soit, il faut tenir compte de ceux qui y croient. Et de ce qu’elle peut les pousser à faire. Ceux qui affirment qu’ils ne font pas de politique flirtent avec la débilité profonde. Quand on ne fait rien, on laisse toute la place à ceux qui ont des croyances, peu importent leurs croyances.
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Votre perspicacité est vraiment étonnante, fit Li Wa. Peu de gens savent démêler l’écheveau des rumeurs et des on-dit pour en tirer des prévisions relativement certaines sur le cours des événements.
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Un autre grand livre de Jean-Jacques Pelletier, Machine God, un thriller de haute qualité qui nous fait saisir le piège du contrôle des masses.
Jean-Jacques Pelletier dans Les visages de l’humanité
Une chanson de Jim Corcoran – Je vais changer le monde
Les paroles sur http://lyriz.progysm.com/chanson.php?idlien=4690