Il y a de petites subtilités, en termes d’approche, lorsque j’assume un rôle de superviseur, de mentor ou cde coach.

En assumant le rôle de superviseur, je m’intéresse principalement au respect des exigences de performance, de qualité et des enjeux spécifiques du travail d’équipe. L’objectif est de s’assurer que la personne supervisée réalise un travail répondant aux attentes du client et de l’organisation.

Lorsque j’assume le rôle de mentor, je m’inscris dans une relation de développement personnel avec la personne en accompagnement. En m’appuyant sur mon expérience et mes connaissances personnelles, j’assure un transfert concret afin d’aider la personne à acquérir de l’autonomie. Je deviens alors très actif et supportant.

Toutefois, lorsque j’assume le rôle de coach, je deviens avant tout un facilitateur. Le but n’est pas de dire quoi faire, mais de faire prendre conscience, permettre de faire émerger le potentiel de la personne. Dans cette perspective, la personne accompagnée est très active, et la finalité de l’intervention est étant de la rendre autonome dans la mobilisation de ses propres ressources et solutions.

Un gestionnaire qui a une équipe peu autonome ou qui est très autoritaire, va avoir couramment recourt à la supervision.

Un gestionnaire qui a une équipe autonome, qui travaille de façon optimale, va redonner la capacité d’agir, l’empowerment à son équipe.

 

Une pièce musicale Le boléro de Ravel en Flashmob réalisé par la Banda Simfònica d’Algemesí  à Algemesí.

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