Se développer autrement

Visage nature

Nous vivons dans une époque ou la contamination des espaces est une réalité. Pour produire ce que notre société de consommation vend, il nous faut creuser les sols, défricher la terre et transformer les rivières et les lacs.

Aujourd’hui, beaucoup de personnes sont conscientes de la pression que nous exerçons sur notre environnement et les changements climatiques qui en découlent. Ce dernier été avec ses records de températures en est une démonstration.

Aucun peuple sur la terre n’y échappe, malheureusement, on a mondialisé cette contamination.

De même, nous importons dans chacun de nos coins de pays cette valeur que tout se paye, tout se gagne.  Il s’agit à mon sens de la plus dangereuse contamination de notre époque.

Elle vise à s’assurer de la rentabilité de notre action ou pire encore de notre bonté avant de l’exercer.

Il est de la toute première importance de se réapproprier l’essence de la gratitude, de la reconnaissance sans tenir de comptes, juste apprécier et donner au suivant. Il n’y a pas de relation donnant-donnant qui puisse durer. Les plus grands gestes humains ne découlent pas d’un troc, mais d’un don de soi pour un préserver la vie.

Pour avoir un impact par des actions structurantes sur les changements climatiques, il importe de dépasser la logique de marché pour réapprendre à apprécier la vie et à aimer l’autre avant toute chose.

Une pièce musicale d’Olafur Arnalds – Happiness Does Not Wait

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