Cultiver notre résilience

Arbre de vie

Il arrive que nous devions composer avec les temps difficiles. Il arrive que le vent souffle, que le ciel s’assombrisse et que les éléments se déchaînent. Nous devons alors trouver un refuge, nous cramponner à ce qui nous sécurise pour rester debout, pour ne pas être emporté par la force des mouvements autour de nous.

Au début, nous n’avons pas le temps de penser, puis quand la tempête s’installe et que nous avons trouvé le point d’équilibre face à cette situation, on prend conscience que les temps sont durs et les perspectives sombres. Il peut arriver que les difficultés nous angoissent et nous avons peur de ne plus revoir l’horizon tel qu’il se dessinait à nous avant. En temps de tempête, le quotidien se métamorphose. On sait au fond de nous que l’insouciance s’est envolée emportant avec elle la légèreté d’antan, notre zone de confort. On se met à espérer et nous nous disons que les jours meilleurs reviendront chargés de nouveaux d’espoir.

En temps de crise, nous ne faisons pas seulement nous accrocher à ce qui nous sécurise au quotidien, nous nous raccrochons surtout aux valeurs fondamentales de notre vie. Ce sont elles qui nous guideront à traverser les tempêtes.

Tout passe, même le printemps succède toujours à l’hiver, comme la nuit revient après le jour.

Au lieu de faire une fixation sur les événements, il est bon de se mettre en mouvement, de développer sa capacité de résilience, de développer sa paix intérieure et sa capacité d’acceptation et d’adaptation. L’entraînement de l’esprit, quelle que soit la forme que l’on préconise, permet de nous outiller non pas à empêcher ces événements, mais à les affronter avec assurance et paix.

Une chanson de Catherine Major – La panique

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