Pensée 39

Et si la vie était ce petit refrain murmurant de douces pensées dans le cœur de chacun, et si nous osions nous lancer dans les profondeurs de nos pensées les plus intenses, les plus réelles, celles qui représentent les portes s’ouvrant aux mondes de nos rêves, au monde de la magie éternelle qui nous pousse à agir comme nous en avons envie… Pourquoi lorsque vous pensez pendant un lapes de temps, vous vous dites qu’il est probable d’attirer tant de choses à vous ? Vous pensez que vos pensées ont une importance infinie…

Le chemin du cœur est un sage éternel silencieux qui ne désire que s’exprimer…

Adorons ce que nous faisons tel que nous le faisons, n’ayons plus ces limites qui nous faisaient croire que nous ne pouvions pas atteindre certains buts qui aujourd’hui, nous nous disons que le fait d’y penser est une passerelle vers cette réalité, vers notre réalité, la réalité de notre cœur. Lorsque l’on pense à l’infinie sagesse qui s’étend sous nos yeux, nous nous apercevons de toute cette beauté si calme que nous admirons, il se peut que nous ayons peur parfois des imperfections mais osons de tout notre cœur foncer vers ce qui nous pousse à aimer, à donner, à nous épanouir. La crainte d’être imparfait n’est qu’une illusion, une simple illusion qui n’a plus à exister mais attendons un moment, toute cette complexité qui nous traverse n’est pas mauvaise elle fait partie de nous, elle nous dévoile l’énergie de la vie qui nous incite à tout exploiter ou du moins, à nous rendre compte de la magie de l’ordinaire et nous nous ouvrons, tels ces bourgeons au printemps…

Apprenons de toutes ces merveilles, ces maîtres de la nature, ce flux abondant de sérénité un chant familier nous rappelant le réconfort que nous offrent ces instants uniques et si simples qui éclaircissent notre chemin intérieur…

Meriem Bendahman dans Pensées humaines

Une pièce musicale de Vivaldi – Concerto for Two Violins in A Minor RV522

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