Si je me devais de choisir
Pour une raison d’espace
Un seul de mes souvenirs
Ce serait celui, de toute manière
De nos étreintes dans la mer
Si vous voyez que change mon visage
Qui s’illumine en plein février
Dans la grisaille des jours séniles
C’n’est pas que je m’amuse de l’hiver
Je pense à nos étreintes dans la mer
À nos étreintes dans la mer
Si vous croyez qu’à mon dernier sourire
C’était ajouté une lueur
Une singulière splendeur
Je dois, ni au paradis, ni à l’enfer
Mais aux étreintes d’une femme dans la mer
Je dois, ni au paradis, ni à l’enfer
Mais aux étreintes d’une femme dans la mer
Aux étreintes d’une femme dans la mer
Daniel Bélanger – Étreintes