Il n’y a pas que l’entraînement physique qui permet de développer ses capacités et son endurance.

Certes, c’est une voie très pertinente, mais ce n’est pas la seule.

Les accidentés de la vie vous le démontreront, il y a du bon à retirer même lors d’un arrêt imprévu de notre parcours. Cet arrêt, bien que douloureux, permet de saisir l’occasion de faire connaissance avec d’autres ressources en nous et autour de nous.

Ils ont découvert que la force ne réside pas uniquement dans les muscles, mais aussi et surtout dans l’acceptation de sa propre vulnérabilité. Aucun régime hypocalorique couplé à des tractions à répétitions peuvent garantir la force nécessaire pour affronter toutes les épreuves.

Tout comme les coureurs de longue distance, la force durable ne réside pas dans la capacité de foncer le plus rapidement possible. La force durable implique l’endurance et la résilience, en d’autres mots cette capacité à reconnaître les douleurs, à les comprendre, à gérer les séquelles qui peuvent en découler, et à prendre en compte l’état psychique et émotionnel pour continuer.

Ainsi, nous pouvons repérer une personne qui a su développer cette force durable par quelques indices, elle regarde lucidement ses propres imperfections, elle supporte celles d’autrui, et elle est capable d’intégrer ses peurs dans son entraînement de la vie.

Une chanson de Jean Jacques Goldman – Le coureur

Des paroles sur https://www.lacoccinelle.net/1331572-jean-jacques-goldman-le-coureur.html

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