Vous formez des lettres, puis vous formez des mots, puis vous formez des phrases. Un texte se dessine, il est fait tout simplement d’encre sur un papier, ou de code sur un espace numérique.

Pas de quoi en faire un plat.

Et pourtant, un lecteur sera propulsé dans un univers qu’il ne soupçonnait pas, ou découvrira une perspective pour sa vie qu’il n’avait aucunement envisagée. Pour d’autres, c’est une impression de déception, une impression de perdre son temps et de vivre le spleen, car les attentes ne sont pas satisfaites.

Des mots, simplement des mots.

Pour celui qui garde l’esprit ouvert, les textes permettent de révolutionner le quotidien, ils peuvent apporter de nouvelles perspectives technologiques, de nouvelles façons de gérer son stress, son mal être ou ses doutes.

Le lecteur est un cueilleur de sens.

J’écris tous les jours pour tenter d’illustrer des voies de passage qui ont attiré mon attention. Il n’y a pas de voie royale sur ce site, il n’y a que des voies d’humanité.

Celui qui écrit permet d’apprivoiser l’inconnu.

Chaque mot, chaque phrase, chaque texte qui émergent dans ce monde raconte à sa façon une part de l’ambiguïté et la complexité de l’univers, et il a le pouvoir non plus de seulement briller par la forme, mais d’apporter un éclairage nouveau.

Une chanson de Jean-Pierre Ferland interprétée par Bruno Pelletier-Un peu plus haut, Un peu plus loin

Les paroles dans la vidéo

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