Avez-vous pris le temps d’observer les grands mouvements de la nature qui nous semblent si familiers qu’ils passent à l’oubli ? Lorsque l’on s’y attarde, que l’on prenne le temps de s’arrêter et d’observer, on s’aperçoit que la nature est à la fois belle et grandiose.

Par exemple, les oies blanches, qui se posent au bord du fleuve Saint-Laurent deux fois l’an et s’offrent une pause. Ils voyagent entre les hémisphères nord et sud sans relâche et chaque année ils reviennent par le même chemin… sans le recours à une quelconque technologie.

Ou encore, les canetons qui suivent leur mère sur le lac dès leur premier jour. On a l’impression qu’ils ont une confiance innée en soir et ils ne se demandent pas s’ils savent nager.

Et quelle est cette énergie qui pousse la graine de plantain à s’implanter n’importe où, acceptant même de se faire piétiner au centre d’un chemin forestier ? Elle s’enracine et s’élève vers le ciel malgré les intempéries.

Et quelle force habite l’herbe qui pousse dans les fissures du béton des villes nous rappelant subtilement que la nature est là et sera toujours interdépendante, que ce soit sous nos pieds, dans l’air que nous respirons ou à travers la pluie dont nous avons besoin pour nettoyer, hydrater, protéger ?

Et puis, cette Lune qui s’élève dans le ciel et exerce une force d’attraction qui fait bouger les océans, ce qui génère le phénomène des marées.

Et enfin, ce Soleil qui apporte l’énergie nécessaire au réchauffement de la Terre, qui provoque notre climat et notre météo.

Il existe une interdépendance, une synergie, un lien profond entre chaque élément, être vivant, écosystème qui dépasse actuellement le savoir humain et la science.

Une chanson de Mes Aïeux – Les oies sauvages

Les paroles sur https://www.chansonsquebec.com/mes-aieux-les-oies-sauvages/

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