S’assumer pleinement implique que nous devons être attentifs au fait d’accepter inconditionnellement ce que nous faisons, et de persévérer à le faire malgré ce que notre entourage peut en penser.

Atteindre le résultat que nous souhaitions par notre travail acharné est une chose. Toutefois, accepter que des personnes se rapprochent de nous uniquement pour ce motif, vous savez, je parle de ces êtres intentionnés et des compétitifs se nourrissant de relations ami-ennemi, voilà un grand défi.

Donner de son temps pour aider des personnes qui connaissent des difficultés et qui ont besoin d’aide pour rebondir est en soi très bien, mais sommes-nous prêts à accepter les personnes qui voient dans la gentillesse un geste subversif pour mieux contrôler ?

Et ce temps que nous donnons et ces gestes que nous offrons, garderont-ils la même importance à nos yeux si personne ne va plus s’en souvenir dans les jours qui suivent ?

Nous prenons beaucoup d’énergie et d’année à nous réaliser, et cette partie qui relève de nous est plus facile à assumer que celle de l’autre qui veut détourner en quelques instants cette avancée. S’assumer, c’est accepter de vivre des échecs, des reculs, de se relever et de continuer quand même.

Bien qu’il y ait toujours quelqu’un qui n’est pas satisfait, qui veut que l’on soit différent, qui exprime que ce que nous faisons n’est pas suffisant, que nous devons faire autrement, nous assumer pleinement implique de composer avec ce babillage, et de continuer à agir à notre mesure, en contribuant au monde par notre propre nature singulière le plus sereinement possible.

Une chanson de Francis Cabrel – Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

Les paroles sur https://greatsong.net/PAROLES-FRANCIS-CABREL,JE-TAIMAIS-JE-TAIME-JE-TAIMERAI,102856823.html

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