J’enseigne le principe féminin suivant : c’est ce que l’on devient qui change le monde, pas ce que l’on fait.

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Il est important de ne pas perdre de vue la réalité de la planète et de ses besoins, de ce qui constitue la vie telle qu’on la connaît. De rester flexible, adaptable, et de ne pas se laisser coincer par ce qui « devrait être », mais de respecter le principe fondamental : « Tu ne feras rien qui pourra faire du mal aux enfants, jusqu’à la septième génération. » Chacun a sa place dans le cercle et son rôle à jouer, que l’on découvre en retrouvant son pouvoir personnel et en s’ouvrant à l’amour inconditionnel.

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C’est dans ce modèle de société, où aucun sexe ne domine l’autre, où règnent l’égalité, la complémentarité et le partage, que les femmes et les hommes peuvent s’allier et s’accomplir. Et à ces conditions qu’ils peuvent faire évoluer toute l’humanité.

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Néanmoins, le chamane n’est pas un médium. Le médium est passif, alors que le chamane est actif. Le médium se contente de recevoir des visions, sans agir ou intervenir forcément, en disant à la personne avec une sorte de fatalité : « Il va vous arriver cela ». Alors que le chamane voit pour mieux agir et lui rendre son pouvoir. Sa vision crée des images psychiques, dont l’impact va aider la personne à s’accomplir. Elle permet de nettoyer toutes ses pensées parasites, issues de son mental qui a tramé des nœuds et des obstacles, et de lui donner de l’énergie pour poursuivre son chemin.

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« Enfin, il est temps d’élargir notre horizon et de lever le rideau que nous avons placé entre l’illusion et la vérité, de sorte que les esprits, le divin et nous-mêmes puissions à nouveau danser ensemble sur cette terre.  » précise -t- elle.

Car on est lumière, et la lumière transforme et guérit.

Audrey Fella dans Femmes chamanes – Rencontres initiatiques

Une pièce musicale de Wild Woman Shamanic Drum – Release, dissolve – empowerment