Je vais peut-être vous blesser!

Est-ce que c’est possible d’envisager que toute souffrance puise son enracinement dans ce qui n’est pas suffisant pour nous? Nos attentes nos répondues?

Et s’il n’y avait pas de place pour combler un vide, la souffrance ne pourrait s’y introduire?

Quand l’amour est complet et suffisant, il n’y a pas de vide, pas d’espace pour y glisser quoi que ce soit appelé souffrance. Mais si la vie ensemble est bien, voir même les biens partagés, mais sans cette présence réelle à l’autre? Si la présence est là sans tout le reste?

Je vais peut-être vous blesser!

Posez-vous la question si ce que vous vivez est suffisant?

Cela vous donnera une idée du malheur à venir ou du calme qui s’installe…