Il est maintenant quelquefois où j’apprends à être sensible aux grandes choses de la vie.

J’apprends à être sensible aux attentions et aux gestes de gentillesse que les gens ont pour moi. Je sais que parfois la vie de ceux qui m’entourent n’est pas toujours facile et ces éclats d’humanité me fascinent. Cela embellit ma journée. Cela alimente ma gratitude lorsque je suis seul.

J’apprends à être sensible aux efforts des personnes qui consacrent du temps pour les autres, ce sont de grands gestes qui me rendent heureux, car ils font reculer l’indifférence par la présence d’un temps de bonne heure.

J’apprends à voir par-delà la valeur d’une personne dans ma vie, car je découvre la singularité.

Et j’apprends aussi à être sensible au cœur même de ces réalisations humaines qui se tissent autour de moi, dans nos espoirs, nos essais et erreurs, nos imperfections, nos réussites et notre humour insouciant.

Il est maintenant quelquefois, peu importe à quel point je suis épuisé, je vois le travail et l’intention des gens qui ont du cœur. J’apprends à être sensible à l’amour qu’ils donnent même si c’est pour lutter contre la peur.

En fin de compte, cessons de regarder les grandes choses qui composent notre humanité comme des petites choses dans la vie, car au fond, c’est ce dont nous avons réellement besoin dans ce monde, de l’amour, de la tendresse, de l’écoute, de la présence, de la compassion, de la gratitude et de l’attention.

Une chanson de Jeremy Dutcher – Skicinuwihkuk

Les paroles sous la vidéo

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