Pourquoi y aurait-il une différence, sur le plan de l’expérimentation, entre les imperfections et la perfection ? Lorsque le jugement tombe, la beauté sous ses différentes formes reprend toute sa place.

Que deviendrions-nous dans notre vie si nous choisissons de changer notre façon de voir ce qui nous est arrivé dans le passé ? Les conditionnements en lien avec le passé qui alimente nos peurs d’abandon, de faire confiance ou de ne pas être à la hauteur aurait moins d’emprise.

Se pourrait-il que tout ce que nous créions dans ce monde soit limité par ce que nous imaginons par nos croyances ? Pour se libérer de ce qui est prévisible et dépasser nos limites, il nous faut alors accepter le doute et l’incertitude.

Peut-on vivre sereinement avec la conviction que les choses ne sont pas uniquement ce qu’elles semblent être ? L’art de vivre dans l’ambiguïté nous invite à revisiter notre représentation du monde et à éviter d’en faire un cliché figé dans le temps.

Se pourrait-il que nous soyons autant l’œuvre que l’artisan ? Un changement de perspective permet de se rendre à l’évidence, la loi de l’interdépendance ne permet pas de cloisonner ce qui est.

Il y a une voie de retour à Soi, elle demande notre attention et permet de voir la création comme une conscience agissante.  

Une chanson de Richard Séguin – Quand on ne saura plus chanter

Les paroles sur https://laboiteauxparoles.com/titre/83537/quand-on-ne-saura-plus-chanter

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