Songe, rit!

Cerveau univers

Il voulait être la vie, et du haut de sa rêverie, il toucha une fleur et senti l’espace d’une éternité, que ce présent est existence.

Il fut changé, non pas en rêveur, mais en être immortel. Il se disait que toute existence est temps.

Puis, en puisant dans son présent, il découvrit les myriades de fleurs, d’herbes et d’êtres autour de lui.

Il comprit que toute existence est aussi espace, chaque fleur, chaque brin d’herbe, chaque être composent l’être infini.

Rien ne peut être séparé, chaque instant inclut l’univers entier.

Nous sommes interreliés.

Puis, tout à coup, ce fut la fin de la rêverie, ce fut l’éveil…

 

 

Il faut croire au bonheur, composé par Eugène Lapierre et interprété par Richard Séguin

Ô toi qui de ma vie
Sais dorer les instants
Ô douce et tendre amie
Fais trêve à ton tourment,
Pourquoi rester morose
Devant les prés en fleurs ?
Puisqu’il y a des roses,
Il faut croire au bonheur

Écoute, l’oiseau chante
Il se rit de tes pleurs,
De l’amour qui l’enchante
Il redit la ferveur
Ne sois pas si dolente
Reviens de ta froideur
Et puisque l’oiseau chante
Il faut croire au bonheur

Vois le ruisseau qui rêve
Il ne sait pas vieillir
La brise le soulève
Et le fait tressaillir
La terre est en liesse
Tout chante dans les cœurs,
Devant tant d’allégresse
Il faut croire au bonheur,
Puisqu’il y a des roses
Il faut croire au bonheur

Laisser un commentaire