Ce que les autres pensent de toi te fait-il réagir?
Pourquoi?
C’est important ce qu’ils pensent? Ils doivent penser quoi? Comment le vérifier? Est-ce correct? Est-ce juste?
Est-ce la bonne approche? La bonne perception?
Et si cela ne nous concernait pas?
Si ce que pensent les autres leur appartient?
Lâcher prise sur ce qui ne nous concerne pas
pour s’occuper de ce qui nous concerne vraiment?
Si une personne pense une chose de toi
et que celle-ci ne le valide pas avec toi, est-ce son problème?
Il a peut-être tout faux et c’est sa responsabilité!
Qu’est-ce qui devrait mobiliser nos efforts?
Nos valeurs de vie? Nos priorités?
Nos proches qui se permettent de juger? Nos rêves?
Qu’est-ce qui devrait nous interpeller, pas de façon égoïste,
mais juste de façon réaliste, c’est quoi le je dans le nous?
La période la plus pénible de ma vie a été celle rattachée
à mon intérêt à préserver une bonne opinion de moi. Aujourd’hui, je sais que je m’en fou.
Des gens me le reprochent et je les remercie
de me partager cette information, d’être vrais.
D’autres non, ils me ne le reprochent pas, et c’est correct,
je veux juste être moi dans ma vie.
Et avoir un espace de compassion pour les autres.
C’est dans l’espace dynamique du je et du nous responsable
que l’équilibre de la qualité de vie s’actualise.
Je suis ce que je suis, je peux changer, mais c’est mon choix. Mais je ne suis pas responsable de la perception des autres,
juste de mon interaction des personnes qui m’en parlent.
Un chant Trop sensible
DanDanJean 
Effectivement, on vit en société, il faut contribuer, nourrir sa compassion pour les autres, et pour nous aussi. Lächer prise, c’est assumer ce qui dépend de nous, mais pas ce qui dépend des autres. Je suis en questionnement que je partage, je ne suis pas en mode réponse absolue. Soyez des plus heureuses.
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Moi la première, ai toujours accordé tellement d’importance à ce que les autres pensent de moi… D’aussi loin que je me souvienne, je me suis évaluée selon leur regard. Comme être humain, l’intégrité, ma valeur, mes motivations sont ce qui me définissent. Lorsque celles-ci sont mises en doute, questionnées, dénigrées ou même salies, il ne me reste qu’une impression de nullité: d’être »reconnu » n’est-il pas un des besoins fondamentaux de l’être? Je lis tout ce qui précède et conviens que tout ceci est bel et bien bon, rationnel, logique. Je vis en société, je veux sentir que j’ai un impact, que je suis un élément positif de cette société. Je ne parle pas ici de réussite financière ou d’accumulation de richesse, qui sont tellement superficiels et n’ayant rien à voir avec l’essence humaine. Alors »lâcher-prise »… à quoi, comment?
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