Avec tous ce qui s’est fait depuis le début de l’histoire de notre humanité, je pense à toutes les actions réalisées par les humains de différentes conditions, de différents pays, revendiquant différentes conceptions du monde, et je me pose parfois la question pourquoi continuer à tenter d’aider les autres?

Ou encore, pourquoi continuer à produire des actions si nous ne voyons pas la fin?

Ou encore, pourquoi ne pas recycler ce qui a été fait de meilleur dans le passé?

Parfois, j’ai le sentiment que si la différence n’est pas uniquement dans les actions que nous posons, quoique souvent elles sont nobles et bénéfiques pour les autres, elle trouve sa racine dans quelque chose de plus profond.

Peut-être qu’il manque un petit quelque chose relié à la présence et au présent vécu.

Peut-être que la bonne action qui a fait la différence à une époque était reliée à cette situation précise, ou ce n’est pas seulement l’action qui a porté fruit, mais surtout l’appréciation par l’autre de ce qui a été procuré.

Peut-être que l’action et la gratitude sont deux ingrédients fondamentaux de la grande réalisation qui ne peuvent se vivre que dans l’instant, tout comme une joie partagée.

Une chanson de Jean Jacques Goldman – Veiller tard

Les paroles sur https://www.lacoccinelle.net/906880.html

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