Le souvenir est un obstacle sur le chemin de l’espoir.
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Le sentiment qui s’affaiblit devient une pensée.
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Les corps sont aux âmes ce que les cendres sont au feu.
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La passion est la moitié de la vie comme l’ennui est la moitié de la mort.
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Le Fort s’épanouit dans la solitude mais le faible y périt et y meurt.
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Je n’ai jamais monté une côte difficile sans atteindre une plaine verte.
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L’amour est un bonheur qui tremble.
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Craindre le diable est, en quelque sorte douter de Dieu.
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J’ai semé mes douleurs au champ de l’endurance, des joies y ont poussées.
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J’ai découvert la magie de la mer après une longue méditation devant les gouttelettes de la rosée.
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Être outrageusement fardé, c’est avouer sa laideur.
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L’ambition est une forme de travail.
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Les longues veillées nous rapprochent des étoiles.
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Que je suis loin des êtres humains lorsque je suis parmi eux ! Et qu’ils sont proches de moi quand je suis loin d’eux !
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Les rapaces ne se mangent pas entre eux.
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Sois patient, car la perplexité est l’origine du savoir.
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La poésie est un éclair et la versification un ordre dans les mots. Il n’est donc pas étrange que la préférence des hommes va à l’ordre qui est à leur portée plutôt qu’à l’éclair qui lui, est loin dans l’espace.
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Le papillon continuera à voler et à se déplacer dans les champs, et la rosée brillera toujours entre les herbes. Même après que les pyramides d’Égypte se soient effacées, et lorsque les tours de New-York n’existeront plus.
Khalil Gibran dans Paroles
Une pièce musicale de Barcelona Gipsy Klezmer Orchestra – Djelem Djelem
Les paroles sur http://welovewords.com/documents/djelem-djelem