Ce que nous avons en commun, c’est que nous portons tous des blessures. Heureusement, nous n’en avons pas toujours conscience, ou du moins en tout temps, et certain jour, on ne le remarque même pas.

Les blessures font simplement partie de la vie. Elles constituent même le pas de la marche de l’évolution.

C’est pourquoi, les mésaventures ou la peur de subir des pertes, sont devenues des facteurs qui interpellent nos mécanismes de défense, et qui peuvent prendre racine dans nos vies, et dans nos relations.

Quand on a recours à la voie du pacificateur, nous créons des conditions pour attirer ce que nous souhaitons.

Quand, nous sommes submergés par des pensées négatives, les éléments perturbateurs qui s’y rattachent nous envahissent, et nous poussent à refaire les mêmes expériences malheureuses.

Il est courant que par automatisme, nous nous retrouvions dans les ornières de nos expériences qui nous ont apporté de la souffrance, c’est l’attraction des gestes passés. Le babillage du mental est un bel exemple de pensées qui tournent en boucles, comme accroché à des ornières.

Il nous est toujours possible de réintroduire et de maintenir des conditions qui nous sont positives, malgré les difficultés. C’est l’une des nombreuses retombées de l’entraînement de l’esprit. 

Pour penser de façon pacifique et positive, nous avons souvent besoin de modèles de personnes qui ont trouvé l’équilibre de la sérénité en dépit de tout. Ces personnes ont une grande capacité de résilience et de compassion. Si vous ne découvrez pas de tels modèles dans l’histoire de votre vie, alors changez de voie, allez le rechercher ailleurs.

La vie parvient toujours à l’inspiration de se frayer un chemin.

Une chanson de Johnny Clegg (With Nelson Mandela) – Asimbonanga 

Les paroles sur https://www.lacoccinelle.net/261626.html

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