Nous avons tous nos propres voies de passage que nous explorons. Et pour expliquer nos différences, il arrive que nous tenions à justifier ce que nous faisons. Entre ce qui est dit et ce qui se passe réellement, il y a cet espace intime, qui est de notre prérogative pudique. Qui peut douter d’être trompé, l’autre ou soi?

Jusqu’où devons-nous être un livre ouvert?

Ce que nous devons cacher est-il justifiable?

Acceptables?

Sans intérêt pour la communauté?

En quoi le nombre de j’aime dans ma vie est d’intérêt public?

Est-ce normal d’avoir un espace de vie privée et de prôner l’AUTHENTICITÉ?

Et si l’intimité et la création d’espoirs pudiques étaient un signe de santé mentale, cette capacité à assumer sa singularité et de la vivre réellement?

Personnellement, je vous souhaite de vivre des réalisations pudiques, non pas juste pour vous, mais juste par vous.

Une chanson de Luc de Larochellière – J’ai vu

Les paroles sur https://greatsong.net/PAROLES-LUC-DE-LAROCHELLIERE,JAI-VU,106988212.html

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