Humilité en ce jour de naissance,
c’est d’en prendre conscience,
de se voir comme soi
dans un tout sans vouloir tout dépasser…
Mais déjà dire cela,
c’est perdre l’humilité…
doux Jésus !
Humilité en ce jour de naissance,
c’est d’en prendre conscience,
de se voir comme soi
dans un tout sans vouloir tout dépasser…
Mais déjà dire cela,
c’est perdre l’humilité…
doux Jésus !
Dans un ascenseur une personne eu un doute, et se demanda quel était le chemin pour réduire sa consommation ? (Surtout en ce temps des fêtes).
Une voix, venue de nulle part, répondit sur un fond de musique d’ascenseur : Il faut te réconcilier avec ce que tu es si tu veux être content de ce que tu as !
Morale, éviter les ascenseurs… si vous n’avez pas le temps de vous réconcilier…
Berceuse à ma mère
Te souviens-tu ma mère
A la fin de ce jour
Des chansons des prières
Et puis des mots d’amour
Qui doucement
Emportait ton enfant
Jusqu’au pays des rêves
Aujourd’hui tes paupières
Tombent plus tôt qu’avant
Eteignons la lumière
Et oublions le temps
Qui doucement
A emporté ton enfant
Jusqu’au pays des hommes
J’ai été saisi d’une vision,
J’ai été happé par une fenêtre
J’y ai vu les ténèbres de mon coeur
J’ai vu les signes de ma dégénérescence
La vision était là, depuis le début
Et l’obscurité poursuit encore son travail
Pour délier les nœuds de la corde qui me retient
Les anges sont prêts, comme les saints
Oh ils sont assis là, en haut, comme des démons
Ils regardent ce qui s’achète…
Le sang de l’Eden
Liant la femme et l’homme
Coule au fond de moi
Nous voulions l’union
Oh l’union de la femme
De la femme et de l’homme
Mon corps a sûrement glisser
Je crois que je me suis perdu dans cette descente
Oui, je pense que je t’ai perdu dans cette attente
Je ne peux pas obtenir d’assurance pour tout
Tu sais, les rêves ne prennent pas de crédit, seulement l’or
Est-ce un poignard ou un crucifix qui semble luire
Un rêve le tient si étroitement dans sa main…
Et pendant tout ce temps la distance s’accroît entre toi et moi
Je ne comprends pas… la descente, l’attente…
Le sang de l’Eden
Liant la femme et l’homme
Coule au fond de moi
Nous voulions l’union
Oh l’union de la femme
De la femme et de l’homme
Le rêve m’emmène, à ma demande
Dans cette tendresse, je suis errant, flottant,
Aucune certitude, on ne peut compter sur rien
La séduction, le succès du moment
Que ce soit un moment, ce moment,
Ce moment d’oubli, un moment de bonheur
Je peux entendre le lointain tonnerre
Inouïe de milliards d’âmes
Bruit que chaque créature émet pour parvenir au confort.
Pour le remplissage du vide
Le sang de l’Eden
Liant la femme et l’homme
Coule au fond de moi
Nous voulions l’union
Oh l’union de la femme
De la femme et de l’homme
Dans le rêve de l’Eden
Nous avons fait tout notre possible
Dans le sang de l’Eden
J’y ai vu la fin avant que tout soit commencé
Avec l’homme et la femme
Et la femme liant l’homme
On a tous rêvé à l’union
Oh, l’union de la femme et de l’homme.
Le sang de l’Éden a coulé à travers moi
Coulé dans mes veines
Le sang du rêve se précipite à travers moi
Je suis sûr que quand il n’y a rien qui subsistera
Subsistera le sang du rêve coulant à travers moi
Je la ressens dans mes os
Le sang du rêve se précipitant à travers moi
Rependant ce que l’homme et la femme possède…
C’est avant tout la douceur qui touche le cœur,
La douceur est une parole silencieuse et profonde….
Réflexion de Khalil Gibran…
Celui qui, par quelque alchimie sait extraire de son coeur,
pour les refondre ensemble, compassion,
respect, besoin, patience, regret,
surprise et pardon
crée cet atome
qu’on appelle
l’amour.