Notre mode de vie axé sur la production et la réalisation
nous prédispose à faire et avoir plus.

Nous sommes entraînés dans une course effrénée

contre la montre, ou pour respecter le temps.

Dans la logique du plus et de la convergence,

la montre est dans le cellulaire,

la musique est dans le cellulaire, le GPS dans le cellulaire,

l’ordinateur est dans le cellulaire

et tes photos peut-être.

Il est plus facile d’utiliser le cellulaire

 que de se poser la question de l’impact.

Pourquoi sommes-nous entraînés dans cette course ?

Avoir.

Avoir des sensations fortes,

avoir de la reconnaissance,

avoir des idées sur une multitude de sujets

(grâce à avoir de l’information),

avoir de l’amour,

avoir des relations,

avoir de l’argent,

avoir du sexe,

avoir du plaisir, avoir du vin

(oups là je ne suis pas certain que je dois inclure), etc.

Ainsi, au fil du temps,

on cumule tous ces avoirs et on accumule des biens,

et relié à ceux-ci il y a aussi des souvenirs remplis d’émotions. Tout ce bagage du passé prend de plus en plus de place,

devient de plus en plus consistant et pesant.

On ne peut pas se défaire de son histoire, de ses Avoir,

mais on peut Être une personne qui porte un bagage intéressant.  Tant qu’à porter quelque chose,

portons ce qui nourrit notre vraie nature!