Un jour, en se regardant dans le miroir, on se rend compte que chacun de nous a quelque chose en lui qui ne peut pas être étouffé, quelque chose qui demande tant d’énergie à contenir, et dont la douleur latente nous effraie.
Il s’agit du déchirement entre ce qu’il ne faut pas et ce que l’on veut vraiment.
Les ne faut pas nous amène à ce contrôle excessif d’une appréhension latente. On repousse encore la poussée qui nous aurait amenés à agir.
Les oui je le fais nous permettent d’accepter que nous le ferons et que nous serons en mesure d’endurer la souffrance en découlant,au pire, en nous disant que cela en valait largement la peine.
Et on est devant le miroir, en équilibre, encore une fois.
Nous créons nos propres peurs, nos propres douleurs sans jamais nous interrompre pour en évaluer le coût.
Et dire qu’il y en a qui remettent en question l’entrainement mental pour sortir de ces pièges que l’on se crée!
DanDanJean 