Vous savez, contrairement à une croyance populaire, la Saint-Patrick n’est pas la fête nationale irlandaise. L’État d’Irlande ne possède pas encore à ce jour de fête nationale. Toutefois, tout le monde y croit que c’est irlandais.
Le 17 mars est issu d’une fête religieuse adoptée par l’Église chrétienne et elle est devenue un jour férié en Irlande (Irlande et Irlande du Nord) et dans l’île de Montserrat, et qui est très observé par les Irlandais.
Pour moi, donc cette journée n’est pas la fête nationale des Irlandais, mais celle de Nicolas né le 17 mars 1991, ses parents écoutaient Prendre un enfant par la main de Yves Duteil avant sa naissance, et moi depuis, j’écoute une chanson en hommage à l’amour de Jean-Jacques Goldman (Et l’on n’y peut rien)
En ce jour du 17 mars, je veux saluer les 24 ans de Nicolas (24 un beau chiffre), et souligner le fait qu’il n’est pas irlandais, et l’on n’y peut rien ….
Et l’on n’y peut rien de Jean-Jacques Goldman
Comme un fil entre l’autre et l’un
Invisible, il pose ses liens
Dans les méandres des inconscients
Il se promène impunément
Et tout un peu tremble
Et le reste s’éteint
Juste dans nos ventres
Un nœud, une faim
Il fait roi l’esclave
Et peut damner les saints
L’honnête ou le sage
Et l’on n’y peut rien
Et l’on résiste on bâtit des murs
Des bonheurs, photos bien rangées
Terroriste, il fend les armures,
Un instant tout est balayé
Tu rampes et tu guettes
Et tu mendies des mots
Tu lis ses poètes
Aimes ses tableaux
Et tu cherches à la croiser
T’as quinze ans soudain
Tout change de base
Et l’on n’y peut rien
Il s’invite quand on ne l’attend pas
Quand on y croit, il s’enfuit déjà
Frère qui un jour y goûta
Jamais plus tu ne guériras
Il nous laisse vide
Et plus mort que vivant
C’est lui qui décide
On ne fait que semblant
Lui, choisit ses tours
Et ses va et ses vient
Ainsi fait l’amour
Et l’on n’y peut rien