Ces petits gestes grandioses

ImAGE Mandela

Ce qui change le monde, ce ne sont pas les grands mouvements politiques, sociaux ou révolutionnaires. Ces mouvements sont les fruits de l’existence des femmes et des hommes qui l’ensemencent, en portent les germes. Ce n’est pas le fruit qui apparaît qui change l’arbre, c’est l’arbre avec toutes ses ramifications qui en produit le fruit.

Attendre, pour que le changement se fasse, attendre les bonnes conditions, comporte une grande part de risque. C’est faire reposer ses attentes sur les autres.

Le changement est cette trace visible de l’impermanence. Au niveau individuel, le changement ayant un effet éventuel sur l’ensemble des humains tel l’effet papillon, découle de l’effort personnel et constant qui, loin d’un état de grâce spontané, forge et polit le caractère créatif d’une personne. Elle peut alors faire la différence.

Puis au niveau des relations interpersonnelles, lorsqu’elle exprime cette singularité, elle enrichit la condition humaine. Et l’illusion du changement s’opère. Je fais référence à l’illusion, car le changement est toujours là, la personne qui fait la différence n’en insuffle qu’une part de direction.

Une chanson de Simple Minds – Mandela day

Les paroles en français sur https://www.lacoccinelle.net/263793.html

COPYRIGHT – DROIT D’AUTEUR 2018 – Daniel Jean – Vous pouvez copier ce texte en indiquant la source dandanjean.wordpress.com, SVP ne pas modifier les textes et le contenu sans approbation, merci.

 

 

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