Quand on poursuit le cours de l’histoire

One

Il nous faut apprendre de l’histoire, pas pour stigmatiser les réalisations, mais pour en tirer des leçons.

Si je stigmatise l’histoire par une perception fermée, je vais en déduire que jamais les africains, les aborigènes d’Australie, les amérindiens et les minorités de ce monde n’auront pas une chance de domination de leur territoire et de devenir libres de la mondialisation en cours.

Mais, il est possible de tirer des leçons de 8 000 ans d’histoire, même si le présent pèse et déceler l’imprévisible. Par exemple, une caractéristique de la vie culturelle ou spirituelle en apparence mineure (danse, yoga, méditation etc,) d’un peuple peut émerger par notre ère de communication et devenir une norme populaire et prédisposer une vie société différente et apparemment exotique, devenir des choix nouveaux et émergents. C’est l’expression d’une autre forme de domination de ce qui était pourtant une minorité.

L’histoire est le recueil de tant de possibilités humaines, s’y fermer se résume à oublier que nous sommes nouveaux à chaque instant, rendant la vie imprévisible. Y puiser sa richesse, c’est rendre le monde meilleur.

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