Il est bon de trouver le juste équilibre entre ce que nous devons endurer et qui va nous aider à acquérir de l’expérience et cheminer, et ce que nous ne devons plus accepter.

Nous nous imposons souvent la contrainte de la filiation, alors que nous devrions nous imposer la responsabilité de vivre en paix.

Il y a des bourreaux qui s’ignorent et qui ont le don de s’imposer dans la vie des autres. Ainsi, tolérer le comportement c’est accepter de se faire violence.

Tout humain a le droit de partir pour développer sa paix laisser les liens qui attisent les violences. Nous ne devrions jamais demander aux autres ce qu’ils peuvent faire pour entretenir notre paix, il faut se garder cette capacité d’autodétermination qui nous permet de donner le sens voulu à notre vie.

Nous oublions que trop souvent l’indifférence est alimentée par son acceptation, la haine est alimentée par le jugement perfide et le manque de respect par le mépris.

Lorsque l’esprit des humains nous paraît étroit et fermé, il est bon de se rappeler que la Terre est vaste.

S’éloigner d’une situation par la peur demande beaucoup d’énergie, car ce que nous fuyons est collé en nous. Mais s’éloigner par besoin de vivre pleinement, de vivre une paix juste a le mérite de cesser le cycle de l’enfermement. Il ne faut jamais hésiter à tout mettre en œuvre afin de préserver notre capacité d’agir de s’éloigner, au-delà de toutes nos habitudes, au-delà de toutes nos frontières, ou au-delà de toutes nos appartenances, d’une situation ou d’une relation toxique.

Pour aimer la vie, il faut dans un premier temps choisir sa vie et s’aimer.

Une chanson de Yannick Noah – Ose

Les paroles sur https://greatsong.net/PAROLES-YANNICK-NOAH,OSE,34204.html

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