Nous le constatons, la vie moderne fait en sorte que de plus en plus de personnes n’ont plus conscience que nous dépendons de notre environnement naturel. Bien à l’abri dans nos édifices et nos maisons, nous percevons de moins en moins l’impact de la nature sur notre mode de vie.

On en arrive à oublier qu’il est aussi nécessaire d’avoir de la lumière naturelle, de l’eau potable, de l’air frais, des oiseaux, des fruits de mer, des poissons, des mammifères, des plantes, et des insectes, que d’avoir ce qui nous apparait nécessaire à notre qualité de vie, soit, de l’électricité, un toit, une connexion, des passions créatives, des activités sociales, une vie familiale et un travail.

Les premiers sont nos conditions externes de la même manière que les seconds sont nos conditions personnelles pour mener une vie telle qu’on le souhaite.

Ce n’est pas parce que nous ne voyons pas les choses extérieures sauf en image ou en produits transformés que nous ne dépendons plus d’eux. Ce serait une erreur de faire le calcul que les choses de notre vie personnelle seront à elles seules suffisantes.

 Il nous faut nous rendre à l’évidence, le « je » ne peut pas survivre sans le « nous ».

Qui est capable de tracer la ligne d’autonomie entre la mer, la terre, le soleil ou l’air et les organes de notre corps, le cœur, les poumons, la peau et le cerveau.

La pollution des terres et des cours d’eau est autant des maladies personnelles que le cancer ou les troubles neurologiques, et la science découvre de plus en plus les effets d’interdépendance. On peut se fermer les yeux sur cette réalité, mais on ne peut y échapper.

Nous avons la capacité d’agir à notre propre échelle. Qu’allez-vous faire ?

Une chanson de Vaslo – Nous avons tout mélangé

Les paroles sur https://www.musixmatch.com/fr/paroles/VASLO/Nous-avons-tout-m%C3%A9lang%C3%A9

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