Écrire relève de l’espérance. Tu mets la virgule là où tu veux que çà freine et le point, là où tu veux que çà s’arrête. Quand tu veux laisser ton idée faire son chemin sans toi, tu rajoutes quelques points. Quand tu t’étonnes, tu peux t’exclamer, c’est pas obligé. Et puis le reste, tu laisses à ceux qui veulent tout expliquer.
Extrait de C’est beau une ville la nuit de Richard Bohringer
Une chanson de Stephin Merritt de The Magnetic Field interprétée par Peter Gabriel – The Book of Love
DanDanJean 
Il me semble être une bonne personne, avec beaucoup d’humanité
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Bonjour Dandanjean- merci pour ton article
Una anecdote à propos de Richard Bohringer : il était invité du Festival » Etonnants voyageurs » à Saint -Malo il y a quelques années ( c’est toujours début juin ). Il signait son livre » C’est beau une ville la nuit » au stand de son éditeur.
J’avais alors un ami éditeur ( il est mort depuis, hélas et je le regrette ) dont le stand était fort accueillant et bien situé pour observer 🙂 . Nous pouvions bavarder et potiner …
Nous avons vu Richard Bohringer signer toute la journée, sans interruption, avec un petit mot, un sourire, un échange pour chaque lecteur.
Il a été ravitaillé sur le stand par sa fille Romane qui lui a apporté des sandwiches.
Et pendant ce temps-là, des auteurs comme Erik Orsenna, Madeleine Chapsal faisaient tapisserie en attendant le lecteur … d’un air … qu’on peut deviner !
Amicalement – france 🙂
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