Les émotions que nous vivons face à la confrontation nous amènent souvent à perdre la juste perspective.

Lorsqu’une personne s’oppose à ce que nous voulons faire, à ce que nous croyons, nous avant la fâcheuse tendance d’y voir un ennemi. Ainsi, nous lançons les hostilités et nous personnalisons le débat.

Il n’est pas facile de prendre conscience que nous n’avons pas à combattre un ennemi, nous devons le plus simplement du monde débattre d’un comportement ou d’une pensée dans une perspective d’ouverture.

Nous vivons pleinement notre liberté dès l’instant où nous cessons d’enfermer les autres, et du même coup soi-même, dans les prisons de la certitude et de la confrontation.

Nous vivons alors en toute liberté de s’exprimer et de discuter de la différence, en toute liberté d’apprendre à voir autrement, en toute liberté de composer avec des personnes qui pensent et qui vivent différemment, en toute liberté d’explorer de nouvelles perspectives.

La confrontation nait de ce que nous voulons à tout prix préserver. Au contraire, l’approche non violente nous amène à suivre le mouvement d’un monde en perpétuel changement, à accepter de nous adapter et à enrichir les projets à venir de l’histoire de chacun, afin de créer le récit de la nouvelle réalité qui s’installe chaque jour.

Les plus belles œuvres humaines sont le fruit d’un acte créatif qui ouvre des perspectives, comme le simple pouvoir d’un sourire.

Une chanson de Bruno Pelletier et Mélissa Bédard – Le coeur est un oiseau

Les paroles sur https://laboiteauxparoles.com/titre/7417/le-coeur-est-un-oiseau

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