Il y a ces milliards d’étoiles qui dansent dans le ciel, faisant du spectacle de la vie une fabuleuse représentation. Et en faisant attention, nous pouvons découvrir au sein de ces amas d’étoiles, la planète bleue, la Terre. Elle tourne avec d’autres planètes autour du Soleil.

En plongeant vers la Terre, nous pouvons franchir l’atmosphère qui rend possibles sous sa voûte toutes les formes de vie. Il y a les montagnes vertigineuses qui nous entrainent vers les vallées et plateaux où se forment des communautés d’humains. Les lumières le soir nous rappellent qu’il existe des étoiles terrestres.

Il y a ces amoncellements de maisons regroupées séparés par des passages. Des humains entrent et sortent des maisons, se fondent dans les rues et font des parcours routiniers sous la forme de cycles, car ils reviennent toujours au point de départ, qui rappelle la course des planètes.

En entrant dans ces maisons, on retrouve des humains de tous les genres, de toutes formes et de toutes les couleurs qui se rapprochent et qui s’éloignent comme soumis à une force d’attraction et qui dans leurs courses quotidiennes, se lèvent et se couchent.

Et tout cet univers fait de mouvements et d’attractions danse la vie. Et si nous prenons un microscope afin d’entrer dans le corps humain, nous verrions ultimement à notre grande stupéfaction, des milliards d’atomes qui dansent sous la voûte corporelle, faisant du spectacle de la vie une fabuleuse représentation.

Tout être peut mesurer sa petitesse en levant le regard vers le ciel afin de constater l’immensité de l’univers qui l’entoure. De même, toute être peut mesurer sa grandeur en tournant son regard à l’intérieur de soi et constater l’espace infini qui le compose.

Une chanson de Au bout des doigts

Les paroles sur https://lyriz.progysm.com/chanson.php?idlien=6519

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