Ce matin, je suis monté sur l’oiseau de la liberté
Et nous nous sommes élancés vers les nuages
Le vent tournait en dansant pour nous accompagner
Et mes oreilles étaient remplies de ce chant de trainage
Nous sommes allez voir si les pays lointains
Étaient tous reliés par les chaînes de pierres et de terre
Et apprécier si ces pays étaient parsemés de chemins
Qui ultimement ramenaient les voyageurs à leurs frontières
J’ai entendu les discours des gens qui se propageaient
Et si chaque mot renvoyait à notre conscience collective
Les silences portaient une honte que l’on tait
Et l’amour ballotté par nos sauts d’humeurs répétitives
Et lorsque je suis revenu de ce voyage avec la liberté
J’ai foulé la terre avec des ailes et un regard insoumis
Insensibles aux chemins proposés pour traverser
Les chaînes, les frontières et les maux que créé par l’esprit
Nous sommes des milliards en exploration individuelle
À imaginer des sentiers précieux là où il n’y a qu’itinéraire
Traversant les foules obscures des sentiments pluriels
Cherchant des yeux affolés des cartes et des repères
Quelle que soit la destination que nous pourrons imaginer
Nous la quitterons, comme tout le reste, un jour
Tout passe comme le vent pendant la chevauchée
Même si tout est là immuable et sans détour.
Une chanson de Neil Diamond – Be (Chanson tirée du film Jonathan Levingstone le goéland)
COPYRIGHT – DROIT D’AUTEUR – Daniel Jean – Si vous voulez copier ce texte merci d’indiquer la source dandanjean.wordpress.com, ne pas couper ou modifier les textes et le contenu merci
Plaisir
J’aimeJ’aime
Dire que je cherchais quoi faire aujourd’hui!
Be : C’est si simple…
J’aimeJ’aime