Frédéric Lenoir L’âme du monde

ImAGE Naisance du monde

Un sage prit la parole et dit : « Le regard que nous portons sur le monde n’est pas le monde lui-même, mais le monde tel que nous le percevons à travers le prisme de notre sensibilité, de nos émotions. Si le monde vous apparaît triste ou hostile, transformez votre regard et il vous apparaîtra autrement. C’est par un travail intérieur, psychologique et spirituel, que nous pouvons véritablement changer et faire évoluer notre perception du monde extérieur. »

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Ce n’est pas le nom d’un sommet que nous avons gravi qui nous transforme, mais la présence et l’amour que nous avons mis dans la marche.

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Malheureux l’homme qui ne sait pas qu’il possède deux grands trésors à l’intérieur de lui-même: la clarté de l’esprit qui peut le rendre libre et la bonté du cœur qui peut le rendre heureux.

Malheureux l’homme qui mène une existence semblable à celle des bêtes enchaînés à ses instincts et seulement préoccupé des soucis matériels de la vie.

Malheureux l’homme qui ne sait pas qu’il est un homme.

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Être libre, c’est aussi ne pas agir en fonction du regard des autres.

Frédéric Lenoir dans L’âme du monde

Une pièce musicale de Bach – Flute Concerto in D Minor, Wq 22, H. 425: I. Allegro

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