Les contes d’enfants nous apprennent à rêver. Nous sommes un soir une héroine ou un héros, un autre soir, une princesse ou un prince charmant, nous devenons de grands voyageurs, nous apprivoisons les terres fantastiques. Nous grandissons avec une vision si idéaliste de la façon dont la vie devrait être que nos attentes, au regard de l’amour, des amitiés, d’une carrière et même de l’endroit où nous vivrons, nous font oublier la simple réalité de la vie telle qu’elle est.
C’est bien de rêver, cela ouvre des perspectives. Ce qui est mieux, c’est reconnaître que tout ce qui se raconte est une réalité interprétée. Un peu comme lorsque nous sortons d’une salle de cinéma, il y a la vie qui reprend sa place après le générique.
Une histoire n’a pas besoin de mourir dans la réalité quotidienne, elle doit demeurer une œuvre passée et inspirante.
Le passé n’a pas besoin de masquer le présent, arrêtons de faire le conte à rebours.
Une chanson de David Bowie interprétée par Gail Ann Dorsey & Matthieu Chedid – Space Oddity
Les paroles en français sur https://www.lacoccinelle.net/250739-david-bowie-space-oddity.html
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peu importe serait plus approprié
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En effet peut importe le type de conte, c’est avant tout une une réalité interprétée qui doit nous inspirer à être présent à la vie et non à rebours. Bonne journée
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Selon moi, tout dépend de la matière du conte et du regard que l’on porte dessus. Certains ont été écrits pour divertir, faire rêver… tandis que d’autres peuvent être une véritable source d’enseignement et éclairer notre présent. D’ailleurs, les deux approches ne sont pas exclusives l’une de l’autre… Bonne journée,
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