Les traits de la plénitude

La jeune femme ouvre son cahier et prend un crayon vert. Elle commence à dessiner le vert de la feuille d’une plante du jardin. Elle commence à esquisser sa représentation de la beauté de ce jardin.

Au fur et à mesure que le temps passe, elle se rapproche de son image mentale qu’elle a imaginée tout en étant consciente et en observant qu’elle s’écarte de l’ébauche de la grande œuvre de la Nature qui suit son cours.

Elle a appris que nous ne pouvons pas dessiner la beauté du monde que l’on chérit si nous sommes incapables de percevoir le mouvement de la nature et reconnaître que la main ne fait que puiser dans la source de plénitude.

Une chanson de Mylène Farmer – Dessine-moi un mouton

Les paroles sur https://www.musixmatch.com/fr/paroles/Myl%C3%A8ne-Farmer/Dessine-moi-un-mouton/traduction/anglais

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Une réflexion au sujet de « Les traits de la plénitude »

  1. À la maternelle on m’a demandé de dessiner un pommier. À 5 ans je n’ai pas l’âge de raison et complètement rempli d’imagination et je dirais anti-conformiste . J’ai dessiné le pommier comme je l’imaginais. Ma professeure a pris mon dessin, déconcertée l’a montré à tous mes petits amis en disant on ne doit pas faire ceci et la déchiré et jeté à la poubelle. Je m’en rappelle après 55 ans

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