Sur la planche du jeu d’échecs, il y a 64 cases dont la moitié est blanche et l’autre moitié noire.
Bien que nous percevions au premier regard 64 espaces individuels, nous devons concevoir l’unité pour pouvoir jouer à ce jeu.
Bien que nous percevions une planche sur la table, il faut qu’il y ait des joueurs pour pouvoir jouer à ce jeu.
La magnificence s’exprime par l’action, ainsi le jeu dévoile tout son sens en permettant d’utiliser les contraires, d’utiliser le blanc et le noir, l’ombre et la lumière, l’intuition et la stratégie.
En jouant, l’acteur devient aussi le spectateur d’une joie mise en échec.
Une chanson de Émile Bilodeau – Échec et mat
Les paroles sur https://genius.com/Emile-bilodeau-echec-et-mat-lyrics
Par Daniel Jean dans Voies (x) de passage
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