Le plus court chemin du plaisir au bonheur passe par la tendresse.
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L’amour c’est comme le jazz : c’est n’importe quoi, mais pas n’importe comment.
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Les hommes sont tellement conditionnés par leur enfance qu’en fait, les psychiatres ne sont que des pédiatres rétroactifs…
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Quand on est équivoque dans le paradoxal, on évite peut-être la contradiction, mais on n’échappe pas à une certaine ambiguïté.
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Il suffit parfois de faire semblant d’avoir du courage pour s’en découvrir vraiment. Dommage que ça ne marche pas pour l’intelligence.
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Certains pensent qu’il suffit d’avoir mauvais caractère pour avoir du caractère, comme s’il suffisait d’avoir mauvaise haleine pour avoir du souffle !
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Il y a des choses que personne au monde ne fait mieux que moi : me pardonner mes faiblesses, par exemple.
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Le dernier d’une course arrive quand même avant le premier de la course suivante.
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Ce qu’il faut craindre ce n’est pas la mort mais l’envie de mourir.
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Chaque individu est unique et, là-dessus, j’ai la prétention d’être comme tout le monde.
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Aimer, c’est grandir.
Grégoire Lacroix dans Les Euphorismes de Grégoire
Une pièce musicale de Ólafur Arnalds – Woven Song