Il est bon de pouvoir parfois s’arrêter et regarder ce qui se passe autour de nous. Prendre une pause dans la rue afin de regarder les autres passer. Prendre une pause et prendre conscience que nous nous sommes habitués à regarder par habitude.

En fixant parfois une personne, qu’elle soit triste ou heureuse, il est intéressant de se demander si nous avons besoin d’elle dans notre vie.

Je sais, c’est une question bizarre, mais combien importante. Par notre routine quotidienne, nous avons développé une tolérance à captation de la présence aseptisée de l’autre. Tout comme nous, elle vit, elle a des émotions, des peurs, des espoirs. Dans ce monde qui est marqué par l’interdépendance, où les personnes malheureuses tout comme les personnes heureuses raconteront leurs histoires à leurs entourages créant ainsi une forme de contamination positive ou négative, il est bon de se poser la question suivante : qu’elle est l’impact du petit souhait positif envers l’autre sur le bonheur collectif ?

Force est de constater que le bien-être de l’autre nous enchante plus que son malheur.

Il est souhaitable de faire en sorte que l’indifférence ne guide pas notre vie et déterminer la nature de nos rapports humains. La bonté est un état d’esprit ayant la capacité de changer radicalement nos communautés.

Une chanson de Sinsemilia – Tout le bonheur du monde

Les paroles sur https://laboiteauxparoles.com/titre/120119/tout-le-bonheur-du-monde

COPYRIGHT – DROIT D’AUTEUR 2021 – Daniel Jean – Vous pouvez copier ce texte en indiquant la source dandanjean.wordpress.com, SVP ne pas modifier les textes et le contenu sans approbation, merci.