Nous constatons par les réseaux sociaux que le seuil de tolérance des gens est de plus en plus bas. La réaction négative vient vite et parfois de façon virulente.
Au sein de chacune de nos communautés, nous avons à interagir avec un grand nombre de personnes pour avoir accès à des services. Par exemple, nous pouvons facilement constater que des fonctions sont plus stigmatisées que d’autres, je pense aux fonctionnaires, aux policiers, aux personnes travaillant aux caisses, etc.
La vie en société nécessite une reconnaissance et un partage des responsabilités qui entoure les prestations de services. Tout en reconnaissant que le service public parfait pour tout le monde, en tout temps, n’existe pas, il est important de reconnaître que l’absence d’erreurs est, elle aussi, irréaliste. Il est possible de rechercher la qualité sans pour autant nier le facteur humain.
Voilà pourquoi la bienveillance, l’empathie, la compassion et le soutien sont des composantes fondamentales de notre communauté.
Nous devons les cultiver afin de pouvoir contrer les situations qui pourraient, en leurs absences, générer de l’anxiété. Notre état d’esprit va déterminer la qualité de notre vie et de celle des autres.
La compassion n’est pas seulement une prédisposition à la perception et à la reconnaissance de la douleur d’autrui, c’est aussi une posture au regard de ce que nous vivons.
Une chanson de Francis Cabrel – Il faudrait leur dire
Les paroles sur la vidéo
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Merci c’est gentil
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bonne semaine a vous
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