Nous sommes conscients que nous sommes tous différents, que chacun nous somme façonné par notre propre histoire, notre propre famille, nos propres cicatrices.

Malgré tout, c’est plus fort que nous, lors de nos rencontres avec les gens, nous sommes à la recherche de points communs. C’est comme si notre singularité ne doit pas être dissociée de l’appartenance à ce qui est plus grand que nous, une famille, un groupe d’amis, une communauté, une culture, ou une nation.

Nous le savons tous, c’est par les autres que nous apprenons. Nous apprenons les uns des autres et grandissons ensemble.

Le chemin de l’unité passe par une disposition intérieure qui accepte l’autre malgré quelques différences que ce soit. C’est prendre conscience que l’acceptation de la différence ouvre à la réelle compréhension de la singularité, puis de l’unité. Ainsi, la beauté qui s’offre à nous alors, c’est de laisser émerger ce qui a pris racine en nous pour animer nos gestes, nos paroles et nos pensées.

Un jour, on se rend compte que chaque rencontre inattendue est une occasion d’apprendre et de grandir. Les préjugés et les stéréotypes se transforment en reconnaissance et apprentissages.

Puis, il arrive un temps où nous concevons nos différences comme des liaisons synaptiques grandeur nature au lieu d’y voir les séparations. Tout ce qui est unique permet les références vers l’unité.

Une chanson de Pierre Lapointe – Dans nos veines

Les paroles sur https://www.boiteachansons.net/partitions/pierre-lapointe/dans-nos-veines

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